Morceau : Quand Cyberpunk, l'Élysée et les 80's se rencontrent

«J’ai fait un rêve ». Enfin pas moi. Ni le Docteur auquel vous pensez probablement. Non, ce rêve-là est différent. Un rêve de déviance, de dystopie et de modernité exacerbée.

Pour citer le site de l’auteur, Florent Deloison –puisque c’est de lui qu’il s’agit– nous introduisant son rêve «La science-fiction a donné naissance à de nombreux sous-genres, tel le cyberpunk qui décrit des mondes dominés par la technologie et les réseaux, remplis de hackers antihéros et de méga-corporations, ou bien encore le steampunk, qui a pour postulat une société restée bloquée à l’époque de la vapeur et de la révolution industrielle, en lieu et place de l’électricité.»

Et donc, une fois qu’on a dit ça, quelle est donc l’uchronie dystopique, le fait majeur, l’indicible alternative qu’il nous propose ? Tout simplement l’impensable : la réélection de Valery Giscard d’Estaing en 1981, sonnant là l’envolée d’une techno-utopie où la France devient une puissance mondiale de premier plan sous l’impulsion des merveilles que sont le minitel ou le monorail.

Et pour illustrer cela, quoi de mieux que du «synthé franchouillard», des «basses rétro-électroniques» et une «cinématique à l’énergie cyberpunk à la gloire mélancolique de la France qui a osé rêver»

Laissez toute la grandeur des années 80 défiler sous vos yeux, voici GiscardPunk