Fantasmes LGBTQ+ les plus fréquents (et ceux qu’on n’ose pas avouer)

Un article de Fantomas-2
Publié le 22/09/2025
Dans la section #Rainbow
Article public d'intéret général
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On a tous des fantasmes, parfois très classiques, parfois complètement déjantés.
Dans la communauté LGBTQ+, certains reviennent souvent… mais ne s’assument pas toujours aussi facilement.
Entre clichés, réalités et petits secrets inavoués, faisons un tour d’horizon de ce qui excite (presque) tout le monde.

Les fantasmes les plus courants

Le plan à plusieurs : trio, quatuor ou carrément orgie… l’idée de partager son partenaire ou de vivre une expérience collective excite beaucoup plus de monde qu’on ne le croit.

Le “forbidden” : fantasmer sur l’hétéro du bureau, le pote straight ou la voisine mariée… le côté interdit rend la projection encore plus intense.

Le power play : domination/soumission, rôle actif/passif inversé, jeux de contrôle… le BDSM reste un terrain d’exploration ultra-répandu.

Les lieux publics : club, sauna, toilettes de bar, cinéma… l’adrénaline d’être “pris sur le fait” ajoute du piment.

Les uniformes et costumes : pompier, militaire, infirmier·e, drag king/queen ultra sexy… les jeux de rôle sont un classique jamais démodé.

Les fantasmes qu’on avoue rarement

Le fantasme intergénérationnel : pas forcément une réalité vécue, mais l’imaginaire autour du sugar daddy/mommy ou du mentor charismatique fait beaucoup tourner la tête.

Les figures d’autorité : prof, coach, patron·ne… être “pris” dans une position de vulnérabilité ou de soumission, ça reste un grand classique.

Les scénarios extrêmes : gangbangs, pupplay, fétichisme cuir/latex, jeux d’humiliation… souvent fantasmés, rarement mis en pratique.

Les crossovers improbables : sexe en drag, cosplay de super-héros, mélange de genres et d’identités… l’imaginaire queer adore brouiller les frontières.

Pourquoi c’est difficile à avouer ?

Parce qu’on craint d’être jugé·e, de sortir de la “norme” (même au sein de la communauté), ou de passer pour quelqu’un de bizarre.
Pourtant, le fantasme reste du domaine de l’imaginaire : il ne dit pas forcément ce qu’on veut vivre dans la vraie vie, mais révèle nos désirs, nos peurs et nos curiosités.

👉 Et toi, quel est le fantasme que tu n’as jamais osé avouer (même sous pseudo) ?

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4 commentaires
LeDétective
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Personne n'osera répondre sans peur d'être jugé 🤣

*Anonyme mode
Un curieux
()
Ça reste globalement les mêmes fantasmes que chez les heteros.

Personnellement j'aimerais faire l'amour au boulot. (Pas avec une patiente 😂😂😂)
un fureteur
()
On peut craindre aussi d’alimenter des dynamiques oppressives et/ou dangereuses, sexistes etc.. en en parlant avec les mauvaises personnes. Des gens qui seraient pas très deconstruits et chez qui ça alimenterait des biais pas cool ...
LeDétective
()
"Le sexe, c'est sale. Mais uniquement quand c'est bien fait. "

Chui hétéro (Enfin. Je crois :p ? ).
Ça ne m'empêche aucunement d'avoir des fantasmes assez peu orthodoxes :).

J'ajouterais même que l'époque s'y prête...
(Vous n'avez pas (encore) les droits nécessaires pour répondre à cet article)
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