Aladdin (1993)
Salut les gamers,
Ce tapis qui rend fou !
Faut qu’on parle d’un jeu qui m’a hanté, épuisé, émerveillé et fait hurler : Aladdin, version 1993. Oui, celui tiré du dessin animé culte. Et si tu penses qu’il n’y en avait qu’un… détrompez-vous. Il y avait plein de versions, et franchement, elles n’étaient pas là pour rigoler.
Des versions partout, et pas qu’un peu
Quand je dis "plein", c’est pas une exagération. Il est sorti sur au moins huit plateformes :
- Mega Drive / Genesis
- Super Nintendo (SNES)
- Game Boy
- Game Boy Color
- NES
- Amiga
- DOS (PC)
- Game Boy Advance
Mais moi, j’avais la version avec le sabre, sur Mega Drive. Et je peux vous dire un truc : c’était pas une promenade en tapis volant.
Mega Drive – Le sabre, les animations Disney, et les nerfs
Développée par Virgin Interactive, cette version, c’était la star.
Les animations étaient faites avec les studios Disney, et ça se voyait.
C’était beau, fluide, et ça tranchait : littéralement, Aladdin avait un sabre.
Tu sautais, tu lançais des pommes, tu découpais des gardes, tu hurlais de panique dans la caverne aux merveilles…
Et tu recommençais. Parce que c’était dur. Très dur. Je m’en souviens encore. Fallait du skill, du calme, et une bonne dose de chance.
Super Nintendo – Pas de sabre, mais des réflexes
Développée par Capcom, cette version-là, elle était différente.
Pas d’arme. Juste toi, tes pommes, et tes sauts bien timés.
Le gameplay était plus axé plateforme, plus "Mario" que "Prince of Persia".
Mais ne te laisse pas berner : c’était aussi punitif, avec des séquences au pixel près.
Et toutes les autres versions ?
Oui, il y en avait plein d’autres :
- Game Boy : petit écran, noir et blanc, mais même difficulté.
- Game Boy Color : un peu plus coloré, mais pas plus tendre.
- NES : version très simplifiée, mais avec le même esprit.
- Amiga & DOS : plutôt proches de la Mega Drive, mais avec des variations.
- Game Boy Advance : portage plus tardif de la version SNES, avec ses qualités… et ses pièges.
Comment ça se jouait ?
Tu avances, tu sautes, tu frappes (ou pas), tu lances des pommes… et tu meurs. Beaucoup.
Tu revis des scènes cultes du film :
- Les marchés d’Agrabah (bonjour les tapis traîtres)
- La Caverne aux Merveilles (pièges, timing, lave = stress)
- Le tapis volant (le niveau qui t’apprend l’humilité)
- Le palais de Jafar (et sa transformation en serpent... my god)
Et parfois, t’avais même des mini-jeux : des roues avec le Génie, des stages bonus avec Abu. Pas pour te reposer. Juste pour te tendre d’autres pièges.
Ce qui m’a marqué
Déjà, c’était magnifique.
Ensuite, ça reprenait le film qu’on adorait, avec des musiques qu’on chantait encore en galérant sur un saut.
Mais surtout : c’était dur. Pas injuste, non. Mais exigeant.
Et on n’avait pas YouTube pour regarder “comment passer la lave niveau 2”...
T’as pas vu ? Tiens, regarde !
Gameplay complet Mega Drive :
Gameplay complet SNES :
Et toi, t’étais Team sabre ou Team pomme ?
Super dur ce jeu et le stage avec le tapis, il m'a clairement traumatisée !