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📺 SÉRIE : Cassandra - Interbubulle SciFi
J’ai vu récemment la série qui fait fureur sur Netflix : Cassandra
Le pitch :
La plus ancienne maison connectée d’Allemagne est restée vide depuis que ses propriétaires sont morts dans des circonstances mystérieuses il y a plus de cinquante ans. Lorsque la famille Prill s’y installe, ils tirent l’IA Cassandra de son sommeil. Cette dernière sera déterminée à utiliser toutes les ressources à sa disposition pour s’assurer qu’elle ne sera plus jamais seule, mais surtout... pour prendre la place de la maîtresse de maison.
J’ai été frappée tout d’abord par la singularité de cette IA, à la forme très très proche d’un humain, en version grotesque et vintage, avec une télé en lieu et place de la tête montrant ce visage pixelisé, le tout allié à cette maison connectée, avec des écrans dans toutes chaque pièce, diffusant cet avatar chelou.
L’histoire se met assez vite en place, et on découvre rapidement que Cassandra n’est pas le robot dévoué à la famille que l’on croit, bien au contraire. Elle n’aura de cesse de tourmenter Samira, la maîtresse de maison, et de la détruire littéralement, et surtout, de "vouloir devenir Calife à la place du Calife".
Malgré quelques lacunes d’écriture et quelques erreurs par-ci par-là , l’histoire se révèle plutôt prenante. Elle se déroule sur une cinquantaine d’années, avec des flashbacks explicatifs.
La série se décline en six épisodes d’une cinquantaine de minutes, plutôt addictifs malgré ces quelques incongruités.
Je ne vous en dis pas plus pour vous laisser la surprise, mais l’histoire reste plutôt originale et il y a également un petit côté Black Mirror qui ne m’a pas laissée indifférente.
J’ai été un peu déçue par les deux derniers épisodes, je pense qu’il y aurait eu matière à faire beaucoup mieux, cela dit le bilan est donc globalement plutôt positif en ce qui me concerne, la série fait le job et reste un bon divertissement.
À découvrir !
Avec Lavinia Wilson (Cassandra), Mina Tander (Samira Prill), Michael Klammer (David Prill), Joshua Kantara (Fynn Prill), Franz Hartwig, Filip Schnack
Et vous, vous avez aimé ?
mais ça reste interessant à voir
Ce que je retiens c'est que c'est encore une histoire qui nous met en garde contre l'IA trop poussée, ici l'IA étant [censuré pour ceux qui n'ont pas vu la série] de base c'est encore plus dangereux car elle est devenue totalement folle avec le temps.
Par contre la fin on sent la course contre la montre, pas forcément pour mettre un terme à la série, mais parce qu'on sent que tout se passe très vite pour les protagonistes eux aussi. On se met donc à leur place et rien n'est tirer en longueur.
*Ă©clate de rire*
Sinon, le design me fait vraiment penser à un mix entre un Securitron et un Handy Boy de Fallout. J'aime bien ces designs rétro-futuristes.
Elle était "enfermée dans une piece" pour faire toutes les mimiques du robot vu à l'écran.