Les simulateurs de tout et n’importe quoi

Hello !

Est-ce que vous aimez les jeux de simulation ? Moi, je trouve ça sympa.

Vous avez déjà rêvé de devenir fermier, conducteur de bus, chirurgien approximatif ou… une tranche de pain ? Non ? Eh bien, des développeurs ont quand même décidé de créer des jeux pour ça. Bienvenue dans le monde étrange (et fascinant) des simulateurs, où tout peut devenir un jeu, même les activités les plus absurdes du quotidien.

Parce qu’au fond, qui a besoin de sauver des mondes quand on peut… désamorcer une bombe, jouer à la grand-mère démoniaque ou semer le chaos en incarnant un cerf surpuissant ?

Les classiques “sérieux” : ceux qui prennent ça à cœur

On commence avec des simulateurs qui ont l’air légitimes, comme Microsoft Flight Simulator. Ce jeu, c’est l’élite du genre : des cartes du monde ultra précises, des cockpits modélisés à la vis près, et des fans qui discutent de la vitesse de croisière comme si c’était leur vrai boulot.

Microsoft Flight Simulator

Et puis il y a Euro Truck Simulator, une vraie institution. Staat adore ce jeu, et j’ai passé de longues soirées à le regarder conduire son camion virtuel, avec la radio allumée dans la cabine. Pendant qu’il roulait à travers l’Europe, moi je faisais un karaoké à côté, chantant sur les chansons de la radio. C’était des moments simples mais franchement cool. Et même si ça avait l’air drôle, je dois dire que j’aime bien ce jeu aussi, je le trouve vraiment reposant. Il y a quelque chose de zen à regarder un camion défiler sur des routes infinies, avec juste le bruit du moteur et de la musique en fond.

Euro Truck Simulator

Les simulateurs absurdes : quand le concept fait tout le charme

Puis il y a les simulateurs qui partent en roue libre. Goat Simulator, par exemple. Le concept ? Vous êtes une chèvre. Voilà. Vous courez, vous défoncez des trucs, vous léchez des trucs (oui, littéralement), et vous réalisez des cascades improbables. C’est stupide à un niveau presque artistique, mais c’est tellement drôle que ça fonctionne.

Goat Simulator

Et franchement, je trouve ça super drôle. J’ai testé PowerWash Simulator, et j’avoue que c’est étrangement satisfaisant de nettoyer des trucs à haute pression. Il y a un côté apaisant à voir la saleté disparaître sous vos jets d’eau, c’est limite hypnotique.

PowerWash Simulator

Mais ce qui me fait vraiment de l’œil, c’est Bread Simulator (I Am Bread). Incarner une tranche de pain qui cherche à devenir toast ? Sérieusement ? C’est le genre de concept tellement absurde que ça en devient fascinant. Ça me fait rire et c’est idéal pour décompresser après une journée de dingue au boulot. Peut-être qu’au moment où vous lirez ces lignes, je n’aurai pas résisté à l’envie de l’essayer. Franchement, difficile de passer à côté d’un truc pareil.

I Am Bread

D’autres simulateurs insolites à tester (et bien notés)

Granny Simulator

Incarnez une grand-mère essayant d’accomplir ses tâches pendant que son petit-fils fait tout pour l’en empêcher. Le chaos familial à son apogée.

Priest Simulator

Devenez un prêtre doté de pouvoirs divins… mais libre à vous de choisir entre une vie pieuse ou totalement déjantée.

Drug Dealer Simulator

Commencez modestement et bâtissez un empire de la drogue (virtuel, évidemment), en évitant la police et en gérant votre “business”.

DEEEER Simulator

Incarnez un cerf avec des capacités totalement absurdes et semez l’anarchie dans une ville paisible.

Thief Simulator

Incarnez un cambrioleur et apprenez l’art du vol discret (ou pas).

Alors, besoin de sauver le monde ou envie de devenir un prêtre déjanté ?

Les simulateurs, c’est la preuve que parfois, la banalité (ou l’absurdité totale) est la meilleure des aventures. Qui aurait cru qu’un jour, incarner une tranche de pain virtuelle ou saboter les plans d’une grand-mère serait plus relaxant qu’un spa ?