Réflexion : L'échec
Tu n’es pas en train d’échouer, tu es en train d’apprendre. Inconnu.
Personnellement, on m’a trop souvent mis la tête dans mes erreurs, mes échecs, on m’a souvent dit que si je continue comme ça, je n’irai nulle part. Sans jamais me dire que, j’avais le droit de faire des erreurs, que ça peut arriver et que je peux en apprendre tout autant que si tout s’était bien passé.
En fait, étant jeune, si j’echouais, on ne me disait qu’une seule chose : que j’allais finir par avoir un boulot ingrat tel qu’éboueur, et que j’aurai une mauvaise situation. Et que donc, je ne pouvais pas échouer, il fallait être bon et réussir partout, ou presque..
> Et vous, vous a-t-on appris que vous pouviez échouer sans en avoir honte ?.
> Pensez-vous que l’échec est utile à l’enseignement ?
4 commentaires
J'ai appris moi-même qu'échouer n'était pas synonyme de honte, parce qu'en échouant, si on cherche à comprendre pourquoi on a échouer, on fini par apprendre
Je suis d'accord avec toi Vin, mais trop peu de gens enseignent aux enfants cela 😢
Même principe que dans le gaming, je vais faire une comparaison à la con, dans un jeu, lors d'une rencontre avec un "boss" s'il est difficile, tu vas forcément mourir dessus.
Bah, tu n'arrêtes pas ton jeu pour autant, tu persévère, tu apprends de tes erreurs et tu finis par apprendre, faire mieux et réussir.
Qui a dit que les jeux vidéo n'apprenaient rien aux enfants ? 😂
Plus sérieusement, au final je pense la même chose que ce que dit Vin, exactement pareil, j'ai juste fait une analogie un peu plus tordue.
Bah, tu n'arrêtes pas ton jeu pour autant, tu persévère, tu apprends de tes erreurs et tu finis par apprendre, faire mieux et réussir.
Qui a dit que les jeux vidéo n'apprenaient rien aux enfants ? 😂
Plus sérieusement, au final je pense la même chose que ce que dit Vin, exactement pareil, j'ai juste fait une analogie un peu plus tordue.
Oui, on apprend de ses échecs, oui c'est constructif autant que nécessaire mais je ne suis pas pour un relativisme/positivisme absolu sur la question.
Apprendre de ses échecs, c'est bien, c'est mieux, ca rassure autant que ca redonne confiance mais ce n'est pas une obligation.
J'ai eu des échecs dont j'ai bien conscience qu'ils n'ont jamais eu de conséquences quelconques sur quiconque et sur ma vie. Ca ne m'a pas empêché de mal le vivre sur l'instant mais c'est surtout parce que je me mettais une pression inutile qui s'est avéré contreproductif.
C'est dommage de partir du principe qu'il n'y aurait que deux issues possibles à l'échec : positive ou négative. Je pense qu'il serait intéressant de reconsidérer cette polarisation en intégrant la notion de neutralité, d'autant plus si on estime que la connotation négative est une conséquence de l'idée qu'on se fait de la chose plus qu'une réalité.
Merci pour ce sujet. :)